Collectionneurs du monde entier, amateurs et simples curieux, ne manquez pas la 24e édition de la « Biennale des Antiquaires » qui se déroule en septembre 2008 au Grand Palais. L’architecture majestueuse de ce site remarquable et son éblouissante verrière constituent l’écrin idéal pour ce grand rendez-vous international du marché de l’art.
La figuration narrative est considéré aujourd’hui comme un mouvement artistique français des années 60 -70. Elle naît de l’action du critique d’art Gérard Talabot, et des peintres Bernard Rancillac et Hérvé Télémaque, suite à l’exposition intitulée ” Mythologies quotidiennes” au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris. A l’instar des artistes américains qui dans le même temps triomphent à la biennale de Venise avec le désormais célèbre Pop Art, les artistes de la “figuration narrative”, d’horizons très différents se réunissent en plaçant au coeur de leurs oeuvres les images de la société contemporaine pour en révéler des sens inattendus. Parmis eux, on compte Arroyo, Bertholo, Bertini, Fahlström, Klasen, Monory, Rancillac, Recalcati, Saul, Télémaque, Voss…
La galerie National du Grand Palais a rassemblé pour la première fois plus d’une centaines d’oeuvres dans cette exposition exceptionnelle qui invite à découvrir ou redécouvrir ce mouvement majeur de la scène artistique française des années 60 – 70.
Une exposition sur la vie de Marie-Antoinette, l’une des plus célèbres reines de France. Fille de Marie-thérèse d’Autriche épouse du roi de France en 1770, Marie-Antoinette fut adulée a son arrivé à Versailles, par sa beauté, sa vivacité, son intelligence. Allant jusqu’a inquiéter la cour de Versailles, qui prit soin de limiter son influence.
Marie-antoinette s’imposera néanmoins comme l’émulatrice des arts de son temps. Elle apportera beaucoup à la musique, les arts décoratifs, et la mode. Mais les origines “autrichiennes”, le tempérament jugé dépensier, intrigant et contre-révolutionnaire la mèneront à sa perte en pleine révolution française.
L’histoire de cette jeune archiduchesse autrichienne nous passionne encore aujourd’hui, véritable héroine entre admiration, jalousie, passion et drame. Le Grand Palais retrace à travers cette exposition regroupant près de 300 oeuvres, la personnalité forte et complexe de Marie-Antoinette. Une exposition à ne pas manquer!
L’exposition Gustave Courbet présente une rétrospective de l’oeuvre de l’artiste. Elle nous donne une vision nouvelle sur son art, sa pensée et sa philosophie. Plus qu’un simple peintre Courbet apparait en véritable critique de son époque, le second empire et la révolution industrielle. Tous les tableaux importants de l’artiste sont là, mais également pour notre plus grand plaisir de moins connus. L’exposition s’organise par théme intitulées, Courbet et la commune, Courbet intime, les nus, les paysages… La grande nouveauté est sans doute la présence de nombreux clichés photographiques (Nadar, Henri le Secq, Gustave le Grey) dont l’artiste c’était inspiré pour la réalisation de ces modèles féminins. La proximité du réalisme des peintures de Courbet et des photographies marque le début de la modernité.
L’exposition Design contre Design propose une nouvelle approche, le terme Design aujourd’hui galvaudé designe tous ce qui est nouveau, tendance, ce qui est “in” ou “out”.
L’exposition design contre design brise les barrières et ose la confrontation des styles. Ces associations d’objets design parfois en adéquation ou confrontation laissent place à l’imaginaire du visiteur. Une visite thématique, pontués de passerelles entre la mode, la bande déssinée, l’architecture et l’art, véritables sources d’inspirations.