Embarquement immédiat pour la nouvelle exposition temporaire du Musée de La Poste ! Voyagez dans l’immensité du Cosmos à travers une cinquantaine de photographies, vidéos, installations, sculptures… qui expriment la vision de l’univers de treize artistes.
Sebastião Salgado montre pour la première fois à l’Espace Krajcberg une sélection de onze photographies. Ces photos inédites sont là pour nous alerter et rappeler qu’une blessure sur laquelle on se penche peut guérir. L’immensité de l’Amazonie, sa force, sa vitalité, lui permettront de survivre si nous prenons conscience des dangers qui menacent cet étonnant écosystème, indispensable à notre équilibre.
La Fondation Louis Vuitton Paris présente la première exposition de Cindy Sherman en France depuis 14 ans. Dans une scénographie conçue en étroite collaboration avec l’artiste américaine, cette présentation embrasse l’ensemble de sa carrière, tout en mettant l’accent sur ses travaux réalisés depuis le début des années 2010 jusqu’à un ensemble d’œuvres très récentes et inédites.
Explorant pour la première fois l’œuvre de Man Ray sous l’angle de la mode, l’exposition au musée du Luxembourg met en lumière ses travaux réalisés pour les plus grands couturiers – Poiret, Schiaparelli, Chanel – et les plus grandes revues – Vogue, Vanity Fair et Harper’s Bazaar.
Le Petit Palais à Paris présente pour la première fois en France depuis près de trente-cinq ans, une exposition dédiée aux plus belles heures de la peinture danoise, de 1801 à 1864. Peintures précises et délicates, plus de 200 oeuvres d’artistes phares de cette période comme Christoffer Eckersberg, Christen Købke, Martinus Rørbye ou encore Constantin Hansen offrent une plongée dans le Danemark du XIXe siècle.
Des premières scènes de vie gitane aux joueurs de flûte des années 1970, en passant par les saltimbanques musiciens, les guitares cubistes, les collaborations avec les Ballets russes ou les bacchanales animant un nombre infini de toiles, dessins, céramiques et sculptures : tout l’oeuvre de Picasso est traversé par la musique, le son, le chant, et la poésie qui le structure. Comment lire cette imprégnation ? Quelle relation le maître entretient-il avec l’univers musical – lui qui, à la différence de Braque, Chagall ou Matisse, n’est pas musicien et n’a jamais exprimé son intérêt pour cet art ?