Non pas une exposition « sur » Michel Houellebecq, mais une exposition « de » Michel Houellebecq : comment l’écrivain produit une forme qui participe à la réinvention de l’exposition en brouillant les cartes entre littérature et photographie, réel et fiction.
Le Centre Pompidou présente « Beat Generation », une rétrospective inédite consacrée au mouvement littéraire et artistique né à la fin des années 1940 et étendant son influence jusqu’à la fin des années 1960. C’est tout le Centre Pompidou qui se met à l’heure de la Beat Generation à travers une riche programmation d’événements conçue avec la Bpi et l’Ircam, en écho à l’exposition : lecture, concerts, rencontre, cycle de films, colloque, programmation au Studio 13/16, etc.
L’exposition dresse le portrait culturel de l’ancien Président de la République, qui fut à l’origine du musée du quai Branly – Jacques Chirac. Ou comment les fils d’un destin personnel croisent ceux de l’histoire des civilisations extra-européennes.
À l’âge de 22 ans, Paul Klee déclare dans son journal : « Je suis Dieu ». Peu de temps après, il ajoute dans une lettre à sa fiancée Lily Stumpf : « je me contente désormais de la belle chose auto-ironie ». Cet état d’esprit l’accompagnera tout au long de sa vie. « Chez lui, le goût de la satire a toujours été très fort, de l’ironie, de toutes ces choses qui manquent un peu de sérieux », commentera plus tard son fils Felix. Quarante-sept ans après la dernière grande rétrospective française, l’exposition que présente le Centre Pompidou se propose de relire pour la première fois l’ensemble de l’œuvre de Klee à l’aune des correspondances avec le concept romantique de l’ironie.
Que se passe-t-il durant la nuit, dans le ciel et dans la nature ? C’est à cette question que l’exposition Nuit répond en mobilisant des savoirs scientifiques pluridisciplinaires : astronomie, biologie, ethologie, physiologie, anthropologie, neurologie.
Le Centre Pompidou Paris présente pour la première fois une histoire mondiale de l’art, au travers d’un parcours de plus de 1 000 oeuvres, avec 400 artistes et 47 pays représentés. À travers un nouvel accrochage de ses collections, le Centre Pompidou présente une nouvelle géographie de l’art moderne de 1905 à 1970 dans tous les champs de la création : arts plastiques, photographie, cinéma, architecture, design…
Tous joueurs, toutes joueuses ? Découvrez-le grâce à Jeu vidéo l’expo ! Cette exposition, d’un genre nouveau, vous révèlera tout l’univers du jeu vidéo, de la conception jusqu’aux phénomènes de société. Jeu vidéo l’expo s’adresse à tous, que vous soyez « non-joueur » ou gamer averti, alors… à vos manettes !
Les Arts Décoratifs de Paris présentent, en collaboration avec la Fondation Dubuffet, une exposition-événement autour de Coucou Bazar, la création la plus originale de Jean Dubuffet (1901-1985), figure majeure et inclassable de l’art du XXe siècle. C’est à l’occasion du 40e anniversaire de la première de Coucou Bazar qu’un coup de projecteur est donné sur ce spectacle d’un genre nouveau, en écho à la présence permanente de Jean Dubuffet au musée, qui possède une donation exceptionnelle de l’artiste de 160 œuvres.
Du trio de tête de la peinture flamande du XVIIe siècle, Rubens-Van Dyck- Jordaens, ce dernier est peut-être moins connu en France faute d’y avoir jamais bénéficié d’une grande rétrospective. Le défi est relevé par le Petit Palais qui fait de l’exposition Jordaens, la gloire d’Anvers l’évènement majeur de la rentrée parisienne dans le domaine de la peinture ancienne.