À l’occasion des Jeux olympiques de Paris, la Bibliothèque Forney nous transporte cent ans en arrière et propose une exposition inédite en écho aux jeux de 1924, qui se déroulaient également dans la capitale. Du 28 mai au 28 septembre 2024, plongez dans le Paris des années 1920 et découvrez comment la publicité imprégnait la ville à cette époque.
Qui n’a pas conservé une jolie boite à biscuits recyclée en boîte à trésors, un éventail, un porte-clés, un pichet, un cendrier publicitaires ! Depuis la fin du XIXe siècle, la publicité offre une multitude d’objets facilement collectionnables et utilise toujours ce ressort pour vendre notamment par le biais d’éditions «collector». Ces objets, usuels pour la plupart (éventails, briquets, chromos…) font l’objet de collections amusantes, surprenantes, hétéroclites autour d’une marque (Menier, Perrier, Kub…), d’un événement (Coupe du monde de foot…), d’un thème, ou bien lié à un usage spécifique ou à une cible privilégiée (enfants…). On devient copocléphile lorsque l’on collectionne les porte-clés, boxoferophile lorsqu’il s’agit de boîtes en fer, ou Yabonophile, si notre intérêt porte exclusivement sur les produits Banania…
Polluer ne prend qu’une seconde, se débarrasser des déchets peut prendre des centaines d’années. Eau de Paris, en partenariat avec Surfrider Foundation Europe et Young et Rubicam Paris, présente l’exposition « 10 ans de publicité pour sauver les océans ».
Les Arts Décoratifs célèbrent les 80 ans de Ricard, une de ces grandes marques qui impriment la mémoire collective. Au-delà de cela, l’aventure Ricard dans le domaine de la communication constitue un cas d’école. Elle repose sur la personnalité exceptionnelle d’un homme, Paul Ricard (1909-1997) ; des couleurs, un graphisme, des slogans célèbres : « Garçon, un Ricard ! » (1939) ou « Un Ricard, sinon rien » (1984), de nombreux objets (cendrier, broc, pichet), la chanson, le sport, l’écologie, l’art contemporain, le design… sont parmi les modes de communication successifs mis en place depuis 1932 par le fondateur de la société Ricard. En interrogeant les acteurs et les archives de l’entreprise, l’exposition retrace ainsi 80 ans de communication créative.
Les Arts Décoratifs présentent la première exposition rétrospective de Jean-Paul Goude à Paris. L’un des plus brillants « faiseurs d’images » de la création contemporaine propose une vision à la fois rétrospective et créative de son œuvre à travers tous les champs d’intervention : de la mode à la photo,de la publicité au spectacle vivant. Artiste-précurseur, manipulateur d’images, tour à tour illustrateur, directeur artistique, photographe, réalisateur, Jean-Paul Goude travaille aussi bien pour la presse, la musique que la publicité. Il est avant tout un créateur qui a su inventer un style, un univers, et peut être même comme l’évoque avec humour le titre de l’exposition, une mythologie personnelle.
Une exposition exceptionnelle au musée des art décoratifs qui retrace l’évolution de la société française à travers 40 ans de spots publicitaires.
Le 1er octobre 1968, pour la première fois cinq spots apparaissent sur l’écran de la première chaîne dont le célèbre film Boursin réalisé par Publicis avec l’acteur Jacques Duby répétant plus d’une trentaine de fois le nom de la marque.