La Fondation Cartier pour l’art contemporain à Paris présente Heliotropo 37, la première grande exposition en France consacrée à l’ensemble de l’oeuvre de la photographe mexicaineGraciela Iturbide, des années 1970 jusqu’à aujourd’hui.
L’Institut culturel du Mexique à Paris présente une exposition du peintre d’origine mexicaine Edgardo Navarro, né à San Luis Potosí. Un univers hybride, entre l’Europe et le Mexique, peuplé de personnages atemporels et de références aux cultures mexicaine et amérindienne. Les toiles d’Edgardo Navarro s’offrent à nous comme des portes d’accès à des univers parallèles.
L’exposition virtuelle Faces of Frida à découvrir via la plateforme Google Arts & Culture. Une rétrospective de l’artiste peintre mexicaine Frida Kahlo, la femme au monosourcil le plus célèbre du monde. La vie, l’œuvre, l’amour et l’héritage de Frida Kahlo à travers le regard d’experts et d’individus à jamais influencés par son talent artistique.
Depuis son indépendance conquise face à la monarchie espagnole en 1821, le Mexique n’a cessé d’affirmer sa volonté de changement et son esprit de modernité. C’est en s’appuyant sur la peinture, la sculpture, l’architecture, l’urbanisme, la musique, la littérature, le cinéma et les arts appliqués que le pays forge son identité.
Le Centre Pompidou Paris présente pour la première fois une histoire mondiale de l’art, au travers d’un parcours de plus de 1 000 oeuvres, avec 400 artistes et 47 pays représentés. À travers un nouvel accrochage de ses collections, le Centre Pompidou présente une nouvelle géographie de l’art moderne de 1905 à 1970 dans tous les champs de la création : arts plastiques, photographie, cinéma, architecture, design…
Le musée de l’Orangerie présente, en collaboration avec le musée Dolorès Olmedo de Mexico, une exposition consacrée au couple mythique incarné par Diego Rivera (1886-1957) et Frida Kahlo (1907-1954). L’originalité de la manifestation consiste à présenter leurs œuvres ensemble, comme pour confirmer leur divorce impossible, effectif dans les faits mais aussitôt remis en question après une seule année de séparation. Elle permettra aussi de mieux entrevoir leurs univers artistiques, si différents et si complémentaires, par cet attachement commun et viscéral à leur terre mexicaine : cycle de la vie et de la mort, révolution et religion, réalisme et mysticisme, ouvriers et paysans.
Axe d’ouverture et de développement de la collection hispanique du Louvre, l’art mexicain s’invite dans les salles du musée au printemps. Une sélection d’une dizaine d’oeuvres présentera au milieu des peintures espagnoles le meilleur de cette école « cousine ». Du zurbaranisme monumental de José Juárez à la fougue baroque de Cristóbal Villalpando en passant par la suave douceur de Rodríguez Juárez, le visiteur découvrira le visage changeant de deux siècles de création du Nouveau Monde et appréciera ses rapports à la fois proches et indépendants avec l’art ibérique.