Soucieux de rendre compte de la vie contemporaine, l’impressionnisme a privilégié la représentation de la figure humaine dans son milieu quotidien et saisi l’homme “moderne” dans ses activités habituelles, à la ville comme à la campagne.
Cette rétrospective au Centre Pompidou de Paris célèbre le 80e anniversaire de Gerhard Richter, aujourd’hui reconnu comme l’une des figures majeures de la peinture contemporaine. Un peintre classique dans sa pratique du métier et sa vision de la peinture, et qui ne la défend jamais mieux que dans ses oeuvres, ainsi que dans ses écrits et les rares interviews qu’il accepte de donner. « Je n’ai rien à dire et je le dis » est une phrase de John Cage que Richter a faite sienne.
Le musée de la Vie romantique s’associe au Cooper-Hewitt, National Design Museum de New York pour présenter sa remarquable collection de quelque quatre vingt Vues d’intérieurs du XIXe s européen, réunies par le célèbre collectionneur Eugene V. Thaw qui les lui a offertes en 2007.
A travers des œuvres majeures, l’exposition explore les rapports que les artistes, souvent les plus grands peintres et sculpteurs, entretiennent avec les animaux. Elle montre que le lien entre art et science, entre notre soif de connaissance de l’animal et notre fascination pour sa beauté, continue d’être étroit. Peintures, dessins, sculptures, photographies, célèbres ou insolites…
En écho au 50e anniversaire des Accords d’Evian qui permirent à l’Algérie d’accéder à son indépendance, cette exposition, réalisé avec le concours de Casteman, reviendra sur plus de 130 ans de présence militaire française en Algérie, de la conquête à l’indépendance. La démarche du musée de l’Armée est clairement historique et son approche pédagogique. Il invite le grand public à mieux comprendre une histoire longue marquée par des relations complexes, dont il apparaît aujourd’hui nécessaire de saisir les différents facteurs et aspects, notamment en l’abordant dans sa totalité, sans réduire l’approche à la seule période de la Guerre d’Algérie (de 1954 à 1962).
Proposant un parcours à travers la peinture orientaliste, l’exposition se penche sur la représentation du Juif comme « oriental » dans l’art, de 1832 à 1929. La route vers l’Orient qu’empruntent les artistes au début du XIXe siècle leur donne l’occasion de découvrir les communautés juives des rives méditerranéennes. Cette rencontre inattendue offre un visage pittoresque à cet Orient souvent rêvé avant d’être visité.