L’exposition « Picasso-Giacometti », organisée en partenariat avec la Fondation Alberto et Annette Giacometti à Paris, mettra en lumière les relations formelles, amicales ou iconographiques qu’ont pu entretenir ces deux artistes majeurs du 20e siècle.
Pourquoi réunir le temps d’une exposition Ferdinand Hodler, Claude Monet et Edvard Munch ? Parce que ce sont des peintres essentiels de la modernité européenne, entre impressionnisme, post-impressionnisme et symbolisme. Parce que leurs œuvres s’avancent dans le XXème siècle – jusqu’en 1918 pour Hodler, 1926 pour Monet et 1944 pour Munch- et qu’elles ont exercé une influence déterminante dans l’histoire de l’art. Mais, plus encore, parce qu’ils ont tous les trois affronté des questions de peinture en apparence insurmontables, avec la même constance et au risque d’être incompris.
La Fondation Louis Vuitton présente l’exposition « Icônes de l’Art Moderne. La collection Chtchoukine ». Elle s’inscrit dans le cadre du programme de “L’Année Franco-Russe 2016-2017 du tourisme culturel” dont elle constitue en France l’événement le plus marquant. L’exposition rend hommage à l’un des plus grands mécènes du début du XXème siècle, Sergueï Chtchoukine – collectionneur russe visionnaire de l’art moderne français, dont la collection, « reste encore aujourd’hui méconnue du grand public occidental. Depuis sa dispersion en 1948, elle n’a jamais été réunie comme une entité artistique singulière et cohérente ».
Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris organise une rétrospective de l’œuvre de Bernard Buffet (1928 – 1999), considéré comme l’un des peintres français les plus célèbres du XXème siècle, mais également l’un des plus discutés. À travers une sélection d’une centaine de peintures, l’exposition propose une relecture d’une œuvre qui a été en réalité très peu vue.
Comment regarder l’oeuvre de Frédéric Bazille, mort au combat en 1870 lors de la guerre franco-prussienne alors qu’il n’était âgé que de 28 ans ? Si ses premières toiles sont clairement celles d’un peintre en devenir, influencé par le réalisme ou son ami Monet, l’artiste a néanmoins achevé de nombreux chefs-d’oeuvre, dans lesquels s’affirme progressivement son génie singulier. Une soixantaine de tableaux est parvenue jusqu’à nous, chacun constituant un défi, un jalon, pour le jeune artiste nous permettant d’être attentifs à sa progression vers l’expression toujours plus personnelle de son “tempérament”, selon les mots de l’époque.
L’exposition Magritte au Centre Pompidou Paris, “La trahison des images” propose une approche à ce jour inédite de l’œuvre de l’artiste belge René Magritte. Rassemblant les œuvres emblématiques, comme d’autres peu connues de l’artiste, provenant des plus importantes collections publiques et privées, l’exposition offre une lecture renouvelée de l’une des figures magistrales de l’art moderne.